Nouveau revers à domicile du SNAF battu 1-2 dans les arrêts de jeu.
Malgré une nouvelle période délicate au SNAF, les hommes de Renaud Lequilliec ont fait le maximum pour gagner leur rencontre face à la Ferté Bernard. Il a fallu un manque de réussite devant le but et un gardien adverse à la parade pour que les Nazairiens empochent les 3 points de la victoire qui auraient fait un bien fou à tout un club qui n’attendait que çà pour repartir de bon pied.
Un mécène s’en va un autre arrive ?
Quand on imagine un homme qui avait promis monts et merveilles au club et qui te lâche au début de saison, on doit comprendre et imaginer dans quel pétrin il peut laisser tout un conseil d’administration. Mais le club veut vite réagir, et c’est ça qui fait sa force actuellement, en remontant quelque chose de solide avec un projet structuré par un Nazairien d’origine qui va déjà laisser le club sur une base solide.
Il faut penser aussi aux quelques 700 licenciés qui sont fiers de porter les couleurs du SNAF chaque weekend sur les pelouses de notre région et de notre département. Le bureau s’est divisé lors du comité directeur du vendredi 22 Novembre et a perdu des personnes estimables au moment de la fusion à l’époque du SNOS et du SNAF en 2014.
Vendredi 13 peut-être porte-bonheur !
En attendant l’assemblée générale financière du SNAF du Vendredi 13 Décembre et l’arrivée probable de nouveaux membres, il ne reste plus que quatre personnes volontaires à gérer les destinées nazairiennes: Jérôme Ameline, en tant que président du comité restreint, Martin Prioux, Clément Porcon et Christophe Maillard. La Ligue Atlantique aura l’occasion de rencontrer ces personnes le 16 Décembre.
Sportivement parlant, Renaud Lequilliec bénéficie maintenant de l’apport de Lionel Duarte, ancien entraîneur d’Ancenis et de Beaucouzé, pour lui prodiguer des conseils avisés sur son groupe de joueurs. En tant que directeur sportif, il tient le rôle de rassembleur. Il veut pour l’instant écouter les personnes dans ou proche du SNAF pour faire son bilan. Il est arrivé il y a un mois et il montre déjà une grande envie de continuer dans un club qu’il considère comme malade malgré son énorme potentiel tant sportif qu’un humain.
Arnaud Barillé. (Photo archive.)